Cette prise de conscience marque le début d’un travail sur soi qu’il est nécessaire de réaliser et ce, avec un thérapeute, quel qu’il soit (psychologue, psychiatre, sophrologue, kinésiologue, énergéticien, hypno thérapeute, constellatrice familiale, …). Au fur et à mesure des séances, la parole se libère mettant en lumière des souvenirs précis ou peut-être au contraire des pans de vie enfouis. Le puzzle se reconstitue alors petit à petit. Certes ce travail s’avère douloureux mais comme j’aime à le dire : c’est un mal pour un bien.

 

C’est un processus qui permet avant tout de se libérer soi-même et d’avancer sur son propre chemin mais aussi transmettre aux générations futures le minimum de « casseroles » possible. Par la même occasion, cela permet de libérer aussi les générations passées et de les apaiser en sortant de l’ombre l’injustice vécue et en remettant les choses et les êtres à leur juste place.

 

Pour épargner les générations futures (qui auront bien suffisamment à faire avec leur propre vécu !), je ne peux que conseiller de réaliser ce travail le plus tôt possible dans la lignée familiale. Lever le voile sur les secrets de famille et les non-dits pour léguer un héritage le plus léger possible.

 

Je souhaite que ces quelques lignes aient piqué votre curiosité.

 

Si la thématique des traumatismes transgénérationnels et plus généralement de la psycho-généalogie vous titillent, je ne peux que vous conseiller les deux livres suivants :

• « Aïe, mes aïeux ! » de Anne ANCELIN SCHÜTZENBERGER,

• « Mon vrai nom est Elisabeth » de Adèle YON.

 

Si vous souhaitez vous plonger dans votre généalogie, que vous ignorez par où commencer ou que vous manquez de temps pour vous y consacrer, je peux vous accompagner dans vos démarches ou les réaliser pour vous : cliquez ici.

 

Bonne fin de journée à tous et à très vite.

 

Céline